Augmentation mammaire à paris 8e
Chirurgie esthétique
Chirurgie mammaire à Paris 8e
Augmentation des seins
Les seins peuvent manquer de volume par absence de développement lors de l’adolescence ou au décours d’une perte de poids importante. Nous observons également chez certaines femmes une perte de volume après la grossesse où l’allaitement.Il y a plusieurs solutions qui se présentent pour corriger ce manque de volume.
Le lipofilling ou transfert de graisse autologue:
Cette technique est de plus en plus appréciée par les patientes car permet d’augmenter le volume des seins tout en gommant quelques capitons graisseux.
Le chirurgien procèdera à une lipoaspiration dont le volume dépendra de la quantité nécessaire, mais une lipoaspiration esthétique complète de la zone peut aussi se prévoir dans le même temps opératoire.
La graisse sera ensuite préparée puis réinjectée dans le sein à l’aide d’une canule.
Une séance peut ne pas être suffisante si la patiente recherche un volume important, le recours à une deuxième session sera nécessaire.
La chirurgie est simple, il n’y a pas de cicatrices, l’aspiration et la réinjection se fait par des petits points d’entrée.
Augmentation des seins à Paris
L’augmentation par prothèse
L’augmentation par prothèse :
Les prothèses : L’une des interventions de chirurgie esthétique les plus pratiquées dans le monde après la liposuccion (17% de l’ensemble des actes de chirurgie plastique selon l’international Society of Aesthetic Plastic Surgery).
Elles sont de forme ronde ou anatomiques avec des les enveloppes lisse ou texturé.
Quel type de prothèse mammaire ?
Récemment l’ANSM (agence nationale de sécurité des médicaments) recommande les prothèses lisses.
Les prothèses mammaires sont utilisées depuis les années 60 elles ont été au tout début fabriqué avec des enveloppes lisses elles avaient la forme ronde, elles étaient remplies de silicones, dans les années 80 un premier changement avec une recommandation d’utilisation de prothèses remplies de sérum physiologique. L’inconvénient c’étaient des prothèses qui se dégonflaient complètement.
Puis l’apparition des prothèses anatomiques dites plus naturelles dans les années 90 et 2000 remplies de gel de silicone.
Après la description des premiers cas lymphome anaplasique à grandes cellules la recommandation va vers des prothèses lisse ronde remplie de gel de silicone
Il s’avère que les résultats sont tout à fait naturels grâce au type de gel utilisé qui est beaucoup plus souple que les précédentes prothèses.
Où placer la prothèse devant ou derrière le muscle ?
Ce sujet fait encore l’objet de débats. Néanmoins chez certaines patientes avec très peu de volume mammaire, une peau très fine, la préférence ira vers une position rétro musculaire afin de camoufler les rebords de la prothèse qui peuvent être nettement visibles dans le décolleté.
Mais nous pouvons aussi opter dans ces situations pour les prothèses rétro glandulaires avec pour compléments des injections de graisse pour gommer cet aspect de prothèses visibles.
Pour la majorité des patientes la mise en place d’une prothèse en rétro glandulaire et nettement plus naturel avec des résultats plus souples et un sein non figé.
Le résultat global et en fonction du volume initial, de la forme, de la base et du volume du sein attendu.
Ce qu’il faut savoir sur l’augmentation par prothèse
C’est une intervention qui peut se faire en ambulatoire
Les cicatrices sont dans le sillon sous ma mère où elles seront très discrètes et peu visibles, ou au niveau de l’aréole lorsque la couleur et la taille de cette dernière le permet.
Le recours au drain n’est pas systématique cela se fera au cas par cas selon l’appréciation du chirurgien.
Les conseils post-opératoires
Une intervention la reprise de la vie quotidienne et possible dès le lendemain.
La douche est autorisée dès le lendemain avec son savon habituel.
Pas de soins particuliers sur les cicatrices.
On recommande le port d’une brassière pour un meilleur confort.
Il n’y a pas de fil à retirer sauf dans le cas où un drain a été posé.
Le résultat final et à partir du 3e mois après la disparition des phénomènes inflammatoires et de l’œdème qui fait perdre un peu de volume par rapport à celui de la première semaine post-opératoire
